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Crise socio-économique en RDC : le CEFODI propose

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Crise socio-économique en RDC : le CEFODI propose

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Le Centre International de Formation pour le Développement Intégral (CIFODI) s’est engagé à accompagner la volonté du gouvernement  congolais dans son effort d’améliorer le social de la population. C’est ce qu’a indiqué l’organisation, lors d’une rencontre avec la presse, le lundi 10 juillet dernier à Kinshasa.

Pour le CEFODI, la RDC connait actuellement  un déséquilibre social dont le corollaire est la pauvreté  rongeant la population au détriment de l’épanouissement et du progrès. C’est pour aider le gouvernement à remédier à cette situation que l’organisation l’accompagne en se basant sur la formation qui, selon elle, constitue la clé de tout développement. Elle se dit consciente que le pays a besoin de ses fils et filles pour son émergence longtemps retardé par des crises et conflits armées, en passant par un encadrement éducatif déficient.

Le CEFODI poursuit plusieurs objectifs. Cette ONG veut consolider le rapprochement entre les différentes couches sociales pour le développement et l’intégration nationales pour créer une classe moyenne. Elle compte aussi sensibiliser les populations sur la promotion des langues nationales et locales, dans le but d’une intégration réussie et les conscientiser sur la nécessité de la formation, de l’information, des notions de la citoyenneté et de la démocratie.

Il s’agit aussi de   former sur le gender et le leadership, ainsi qu’à la maitrise des langues et des nouvelles technologies de l’information et de la Communication. Il faut encore investir dans les ressources humaines par la formation des populations en  milieu rural, lutter contre les violences sous toutes ses formes surtout basées sur le genre et contre le VIH/SIDA et contre le travail des enfants mineur ainsi que promouvoir l’éducation et la protection des l’enfant.

  Et enfin contribuer à l’instruction des enfants abandonnés et à ceux des familles démunies à l’âge de la scolarisation par l’inscription, le paiement des frais scolaire ou achats des objets classiques.

Par Carroll Madiya

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