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Participation active de la RDC à la 51ème session du Conseil des droits de l’homme à Genève

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Participation active de la RDC à la 51ème session du Conseil des droits de l’homme à Genève

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Par GKM

La 51ème session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies s’est ouverte depuis le 12 septembre et se clôture le 7 octobre 2022 à Genève, la capitale Helvétique. Membre du Conseil des Droits de l’homme des Nations Unies, la RDC participe à cette session tant au niveau des officiels que des acteurs de la société civile militant pour la defense et protection des droits de l’homme.

Elle est représentée par sa mission permanente, avec l’ambassadeur Paul Empolo Lodoko Efambe. Les missions permanentes des États sont représentées par les ambassadeurs. Paul Nsapu Mukulu, president du Conseil d’administration de la Ligue des Électeurs et vice-président de la Fédération internationale des Ligues des droits de l’homme (FIDH), participe à cette 51ème session pour le compte des Organisations des Droits de l’Homme.

Celles-ci sont membres actifs et disposent d’un statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC). Cette position leur permet de se faire entendre auprès du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. La cause des défenseurs des droits et des victimes peut ainsi être entendue par les 47 États membres, qui ont la responsabilité de renforcer la promotion et la protection des droits humains autour du globe, insiste Paul Nsapu Mukulu, défenseur des droits de l’Homme.

Fort de sa connaissance et expert des questions des droits humains, Paul Nsapu participe à la 51ème session du Conseil des Droits de l’Homme à Genève pour mener le plaidoyer et lobbying auprès des États membres. Pour rappel, le Conseil des droits de l’homme organise au moins trois sessions ordinaires par an pour au moins dix semaines au total.

Elles ont lieu entre février et mars, entre juin et juillet, et entre septembre et octobre. Ces sessions peuvent durer trois, quatre ou cinq semaines, selon le programme de travail. Si un tiers des États membres en font la demande, le Conseil des droits de l’homme peut décider de tenir une session extraordinaire en cas de violations des droits de l’homme ou de crise dans ce domaine, précise le texte.