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La violence contre la femme constitue « un outrage de Dieu», selon le Pape François

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La violence contre la femme constitue « un outrage de Dieu», selon le Pape François

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Par GKM

Le Pape François a appelé, depuis le 1erJanvier 2022, lors de la Solennité de Marie Mère de Dieu, à la traditionnelle messe pour la paix à la Basilique Saint Pierre, à « retrousser ses manches » pour œuvrer à la paix et assurer que la violence envers les femmes équivalait à « un outrage de Dieu ».

Un message lancé à l’occasion de la Journée Mondiale de prière pour la paix qui coïncide dans l’Eglise avec cette fête de la Solennité de Marie Mère de Dieu. C’était le Premier Angélus de Pape François pour l’année 2022.Le Saint Père a trouvé impérieux et nécessaire de stopper la violence dans le monde : « Il n’y a pas lieu de se laisser abattre et de se plaindre, mais de retrousser ses manches pour construire la paix.Restons chez nous, en pensant à la paix, la paix, la paix. Nous avons besoin de la paix », a déclaré le Souverain pontife.

Le saint Père François avait, dans les termes presque similaires, considéré la violence faite à la femme comme « une profanation de Dieu, né d’une femme ». C’était en 2020, lors du Premier Angélus. Pour le Pape François, Marie, « Femme et Mère », est pour toujours « Mère de Dieu ».

Elle est le modèle pour l’humanité et pour l’Eglise. Pour lui, « la renaissance de l’humanité a commencé à partir de la femme ; les femmes sont sources de vie ». Malheureusement, a-t-il constaté, « les femmes sont continuellement offensées, battues, violentées, poussées à se prostituer et à supprimer la vie qu’elles portent dans leur sein ».Et d’affirmer, « toute violence faite à la femme est une profanation de Dieu, né d’une femme ».

C’est ainsi qu’il s’est posé autant de questions sur le corps de la femme: « Combien de fois le corps de la femme a-t-il été sacrifié sur les autels profanes de publicité, du gain, de la pornographie ? ». Le Pape François avait appelé depuis 2020 à libérer le corps de la femme du « consumérisme » afin que le corps de la femme soit respecté et honoré, comme la chair la plus noble du monde.