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Du 29 au 30 janvier 2016 à Kinshasa : Le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens a tenu sa session ordinaire

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Du 29 au 30 janvier 2016 à Kinshasa : Le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens a tenu sa session ordinaire

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Cette structure prépare ses 25 ans d’âge cette année

Le Bureau du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens a organisé, du 29 au 30 janvier 2016, à son siège situé dans la commune de Kasa-Vubu, à la place Kimpwanza, ville de Kinshasa, sa session ordinaire.

L’objet de cette session ordinaire était la lecture, amendement et adoption du procès-verbal de la session du 27 au 28 avril 2015, le rapport administratif, le rapport financier, l’observation des règles de la profession et des devoirs du pharmacien, la révision du règlement intérieur, l’examen du Budget 2016 ainsi que le dernier point consacré au divers. Cette réunion a eu lieu dans une ambiance de fraternité et de convivialité.

Le président du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens, le professeur Jean-Baptiste Kalonji Ndoumba, a expliqué à la presse que la session ordinaire de l’Ordre des pharmaciens permet de passer en revue sa mission, ses attributions, ses actions… Il est donc question d’évaluer l’aspect disciplinaire, administratif, financier, ainsi que les perspectives pour la nouvelle année qui commence.

25 ans du CNOP

Selon le pharmacien JB Kalonji Ndoumba, cette année, l’Ordre des pharmaciens va totaliser 25 ans d’âge. C’est donc une année jubilaire, a-t-il dit. Pour ce, plusieurs activités sont prévues. Notamment l’évaluation du secteur pharmaceutique sur l’ensemble du territoire national.

A ce sujet, les missions du Conseil national devra se déployer à travers le pays en vue d’évaluer la répartition des pharmaciens, des enseignants en pharmacie et des établissements pharmaceutiques, à en croire le président du CNOP.

L’origine des médicaments importe moins que la qualité

La question de la provenance des médicaments ne peut pas déranger. C’est plutôt la qualité des médicaments qui dérange, à en croire Kalonji Ndoumba.

Le souci permanent de l’Ordre des pharmaciens, a-t-il poursuivi, est que les Congolais aient accès, partout où ils se trouvent, aux médicaments de qualité. Car, un médicament de mauvaise qualité est un poison, donc tue.

Par LM

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