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La rareté des bus Transco et «Esprit de vie» rend difficile le transport en commun à Kinshasa

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La rareté des bus Transco et «Esprit de vie» rend difficile le transport en commun à Kinshasa

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La situation s’est surtout détériorée avec l’arrivée du gouvernement Tshibala, à travers son ministère des Transports et Voie de communication, qui n’a pas une véritable politique en matière de transport en commun dans le pays!  

Après le lancement de la société de transport en commun «Transco», et l’arrivée des bus dits «Esprit de vie» à l’époque du Premier ministre Matata Ponyo, la ville province de Kinshasa avait vu les difficultés de transport en commun être résolues.

Depuis quelques temps, les difficultés de transport en commun ont ressurgi. Le transport en commun est devenu un véritable casse-tête. Les Kinoises et Kinois éprouvent de sérieuses difficultés pour avoir un moyen de transport le matin et le soir.

Les arrêts de bus sont bondés de monde aux heures de pointe. Il faut avoir des biceps pour un monter dans un bus pour aller au boulot ou pour vaquer à une quelconque occupation le matin, et le soir pour rentrer chez soi.
Ainsi, des observateurs avertis relèvent que c’est suite à la baisse du charroi automobile de Transco et à la rareté des bus «Esprit de vie» qui rendent difficile le transport en commun à Kinshasa, une ville cosmopolite de plus de 10 millions d’habitants.

Aussi, on pointe du doigt le gouvernement Tshibala car, depuis son arrivée, la situation du transport en commun n’a cessé de se détériorer. Le ministère des Transports et Voies de communication, dirigé par le Vice-premier ministre José Makila Sumanda, ne dispose pas d’une véritable politique très stratégique pour le pays.

On craint surtout de voir la société Transco, dont le charroi automobile n’est pas renouvelé depuis le départ de l’Adg expatrié, tombe en faillite, alors qu’il soulage beaucoup de Congolais vivant dans les quartiers périphérique de Kinshasa. Affaire à suivre!

Par Lucien Kazadi T.

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