Par Ben Dibanzulua/ Cp

À l’occasion de la clôture du mois de mars dédié à toutes les femmes du monde entier, La Ligue des Femmes du parti “Agir pour le changement” dont la présidence revient à madame Mireille Mimuz a réveillé la conscience des femmes congolaises par une conférence-débat sous le thème ” défi et challenge des femmes congolaises en 2021″ .c’était dans les installations du restaurant “Fin Gourmet” dans la commune de la Gombe à Kinshasa.

A en croire la présidente de la ligue des femmes du parti Agir Madame Mireille mimuz, les Femmes congolaises en 2021 ont plusieurs défis et challenges a relevé pour rendre effectif le changement de leur statut social. Parmi ces défis renseigne-t-elle figurent l’autonomisation et l’auto prise en charge de la femme, la liberté financière, la reconnaissance des droits reconnus à toutes les femmes par la résolution 1325 du conseil de sécurité des nations unies , la prise de conscience féminine qui doit être accompagnée d’un solide esprit de leadership.

La même conférence a connu la participation des leaders d’opinion, les acteurs sociaux , acteurs politiques , cadres des partis politiques ainsi que des membres de parlement à l’exemple de la députée nationale Christelle Vuanga et de la vice présidente du parti politique alliance des élites pour un nouveau Congo, madame Gisèle Tshilengi.

Axant son allocution sur l’historique des droits des femmes, Christelle Vuanga a indiqué que ces droits tirent leurs origines des mauvais traitements auxquels les femmes de l’époque ancienne étaient victimes. C’est l’exemple des femmes de la grande Bretagne qui revendiquaient les droits de l’égalité des salaires avec les hommes ainsi que de l’avortement provoqué de fœtus des filles en Inde.

Elle a en outre évoqué le cas de certains pays du monde qui jusqu’à présent étouffent les droits des femmes. S’inspirant de la résolution 1325 du conseil de sécurité des nations unies, Christelle vuanga lance un cri d’alarme aux différents gouvernements du monde de punir les autres des violences faites contre les femmes.

Abordant la question relative à l’autonomisation de la femme ,la vice présidente du parti politique alliance des élites pour un nouveau Congo , la professeur Gisèle Tshilengi appelle toutes les femmes congolaises à développer l’esprit de l’indépendance financière. Cette indépendance financière renseigne la même source les permettra à bien défendre leurs droits, a conclu Gisèle Tshilengi.