De nombreuses sources parlent de l’expérience parlementaire au service de la Chambre haute du Parlement
Par Lucien K.T

L’élection des membres du Bureau définitif du Sénat, désormais la course est amorcée. Les sénateurs vont départager les candidats en lice, au cours d’une séance plénière prévue le 02 mars prochain en son siège au Palais du Peuple, à Kinshasa. C’est dans ce cadre que le Bureau d’âge du Sénat a rendu publique, mardi 23 février dernier, la liste définitive des différents candidats au Bureau définitif.

Parmi les différentes candidatures, il y a notamment celle présentée à la questure par Carole Agito Amela, qui selon de nombreuses sources, son profil joue en sa faveur pour ce poste. Cette femme manager, qui a longtemps dirigée une entreprise de l’Etat et plus d’une fois a été élue nationale.

Ainsi, contrairement à l’élection du nouveau Bureau de l’Assemblée nationale, où presque tous les postes avaient connu des candidatures uniques, la bataille à la Chambre haute du Parlement s’annonce plutôt âpre pour la plupart des postes pour lesquels s’affrontent au moins deux candidats. Mais bien qu’il y ai plusieurs candidats pour ce même poste de questeur, des sources «parlent, pour Carole Agito, de l’expérience parlementaire au service de la Chambre haute du Parlement».

Carole Agito, l’expérience parlementaire au service du Senat

Sur ce terrain, Agito offre un profil intéressant, aussi bien par rapport au poste de la questure qu’aux exigences qui y sont rattachées. Elle offre, à cet effet, son expérience parlementaire. Habituée du jeu électoral, pour avoir été élue deux fois comme députée nationale en 2006 et en 2011, elle gagne de nouveau le pari de l’élection, cette fois-ci au Sénat , en décembre de 2018.

Ces votes répétitifs traduisent la confiance que le souverain primaire a toujours placée en cette dame du peuple, soutiennent des observateurs qui suivent sa carrière, notamment politique depuis déjà plus d’une décennie. A cette confiance s’ajoute une expérience parlementaire qui renseigne sur sa proximité continue avec le même souverain primaire, mais aussi sa vision et sa volonté d’un «Congo uni et paisible», des «institutions en bonne entente» et tournée vers «le bien-être de ce même peuple».

Députée nationale en 2006, elle avait réussi à se faire élire à la présidence de la sous-commission de la Fonction publique au sein de la commission socioculturelle, là où elle avait initie un projet de loi originale de mise sur pied d’un «Médiateur de la République». La mission pour ce projet demeure, jusqu’aujourd’hui d’arbitrer, entre autres, les différends interinstitutionnels dans l’optique de la bonne palabre africaine.

L’objectif, pour Agito, «était d’avoir un organe d’alerte précoce et de surveillance de la vie des institutions dans leurs rapports pour prévenir et aplanir tout conflit de nature à bloquer leur bon fonctionnement». La démarche concerne également les institutions provinciales et bien d’autres organisations étatiques. Ce projet, d’un intérêt pourtant capital pour une RDC post-conflit, ne verra, cependant, jamais le jour comme loi à part entière, puisque placé dans les tiroirs à l’époque.

Il ne reste pas moins que dès l’amorce de la cinquième République et avec ce projet de loi, Carole Agito Amela prend sérieusement ses marques comme une L’élection des membres du Bureau définitif du Sénat, désormais la course est amorcée. Les sénateurs vont départager les candidats en lice, au cours d’une séance plénière prévue le 02 mars prochain en son siège au Palais du Peuple, à Kinshasa.

C’est dans ce cadre que le Bureau d’âge du Sénat a rendu publique, mardi 23 février dernier, la liste définitive des différents candidats au Bureau définitif. Parmi les différentes candidatures, il y a notamment celle présentée à la questure par Carole Agito Amela, qui selon de nombreuses sources, son profil joue en sa faveur pour ce poste. Cette femme manager, qui a longtemps dirigée une entreprise de l’Etat et plus d’une fois a été élue nationale.

Ainsi, contrairement à l’élection du nouveau Bureau de l’Assemblée nationale, où presque tous les postes avaient connu des candidatures uniques, la bataille à la Chambre haute du Parlement s’annonce plutôt âpre pour la plupart des postes pour lesquels s’affrontent au moins deux candidats. Mais bien qu’il y ai plusieurs candidats pour ce même poste de questeur, des sources «parlent, pour Carole Agito, de l’expérience parlementaire au service de la Chambre haute du Parlement».

Carole Agito, l’expérience parlementaire au service du Senat

Sur ce terrain, Agito offre un profil intéressant, aussi bien par rapport au poste de la questure qu’aux exigences qui y sont rattachées. Elle offre, à cet effet, son expérience parlementaire. Habituée du jeu électoral, pour avoir été élue deux fois comme députée nationale en 2006 et en 2011, elle gagne de nouveau le pari de l’élection, cette fois-ci au Sénat , en décembre de 2018.

Ces votes répétitifs traduisent la confiance que le souverain primaire a toujours placée en cette dame du peuple, soutiennent des observateurs qui suivent sa carrière, notamment politique depuis déjà plus d’une décennie. A cette confiance s’ajoute une expérience parlementaire qui renseigne sur sa proximité continue avec le même souverain primaire, mais aussi sa vision et sa volonté d’un «Congo uni et paisible», des «institutions en bonne entente» et tournée vers «le bien-être de ce même peuple».

Députée nationale en 2006, elle avait réussi à se faire élire à la présidence de la sous-commission de la Fonction publique au sein de la commission socioculturelle, là où elle avait initie un projet de loi originale de mise sur pied d’un «Médiateur de la République». La mission pour ce projet demeure, jusqu’aujourd’hui d’arbitrer, entre autres, les différends interinstitutionnels dans l’optique de la bonne palabre africaine.

L’objectif, pour Agito, «était d’avoir un organe d’alerte précoce et de surveillance de la vie des institutions dans leurs rapports pour prévenir et aplanir tout conflit de nature à bloquer leur bon fonctionnement». La démarche concerne également les institutions provinciales et bien d’autres organisations étatiques. Ce projet, d’un intérêt pourtant capital pour une RDC post-conflit, ne verra, cependant, jamais le jour comme loi à part entière, puisque placé dans les tiroirs à l’époque.

Il ne reste pas moins que dès l’amorce de la cinquième République et avec ce projet de loi, Carole Agito Amela prend sérieusement ses marques comme une véritable femme d’Etat au service du peuple. Il faut dire que la sénatrice Agito est plus connue comme Dg (directrice générale) de la Sonas (Société nationale d’assurance), qu’elle a eu à diriger pendant onze années. Onze bonnes années durant lesquelles cette graduée en sciences infirmières et licenciées en environnement (biodiversité) a su forger et affermir ses capacités managériales pour sortir ce canard boiteux du gouffre et rétablir le secteur des assurances dans la vie socioéconomique nationale.

Les Congolais se souviennent d’elle, en effet, comme «Madame Jeudi Sinistre», cette journée de la semaine où la Sonas indemnisait les sinistrés, chose qui ne se faisait plus pendant plusieurs décennies avant elle. De plus, Carole Agito a eu à éprouver ses capacités managériales dans cette entreprise hautement stratégique. Pendant ses douze années de mandat, en effet, elle a subi 22 audits, soit 2 audits par an.

Tous ces audits l’ont lavée de toutes les accusations qui étaient portées contre sa gestion. C’est donc cette expérience managériale indéniable que Carole Agito compte mettre au service du peuple à travers la questure du Sénat. Aussi, Carole Agito se sent-elle encouragée en se retrouvant dans la vision du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui est une véritable opportunité d’engager la RDC sur la vraie voie de son émancipation à travers cette Union Sacrée de la Nation.