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Préoccupée par une situation de terreur : Fondation Katangaise alerte sur l’insécurité au Katanga

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Préoccupée par une situation de terreur : Fondation Katangaise alerte sur l’insécurité au Katanga

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Il se passe bien des choses horribles sur l’ensemble de la province du Haut-Katanga où l’insécurité s’amplifie du jour au jour. Deux membres de la « Fondation Katangaise » viennent de monter au créneau en dénonçant cette triste réalité que vit malgré elle présentement la population locale. Le Dr Ntalasha  et M. Raphaël Mututa  de cette association culturelle ne sont pas restés bouche cousue devant cette dégradation de la sécurité dans cette partie de la République, sur base des informations alarmantes à leur disposition.

D’après eux, cette insécurité à Lubumbashi cache une manœuvre ourdie pour empêcher le retour  Moïse Katumbi Chapwe au pays. Tout est mis dans un schéma de manipulation tribale  dans le but de déboucher sur l’accusation du Chairman de TP Mazembe comme l’auteur et bénéficiaire de cette action destructrice. Le Président cette Asbl n’est  prêt de l’entendre de cette oreille.

C’est pourquoi, il compte saisir les autorités du pays afin de dénoncer la dégradation de la sécurité à travers l’ex province du Katanga. Par la même occasion, la Fondation Katangaise déplore tous les ennuis judiciaires et  autres montages  qu’elle dit être  échafaudés pour salir la réputation de l’ancien Gouverneur du Katanga. La haine et la jalousie animent plusieurs personnalités de cette partie de la RDC qui tiennent à freiner le retour de ce dirigeant sportif et acteur politique  au pays de ses ancêtres.

La Fondation Katangaise est arrivée aussi à cette conclusion. Elle ne comprend pas autrement cette stratégie concoctée. La Fondation Katangaise s’inquiète du fait que des miliciens bien connus qui ont fait la peur, la mort et la désolation au Katanga sont sur le point de refaire surface  sous prétexte de repousser les « Kamuina Nsapu » en provenance du Kasaï. Le but poursuivi, pour cette Asbl qui donne l’alerte, est  ailleurs.

Par K.Kap

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