Du 16 au 18 novembre à l’Institut français de Kinshasa : A la découverte du cinéma du pays du matin calme avec le Festival du film coréen
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Les cinéphiles pourront découvrir en entrée libre, du 19 au 18 novembre à l’Institut français de Kinshasa le Festival du film coréen. A l’affiche cinq long-métrages.
Ainsi aujourd’hui mercredi à partir de 1h00 à la Grande halle, le public peut voir « Amiral », réalisé par Kim Han-min. cet opus de 126 minutes, sorti en 2014, raconte l’héroïsme de l’Amiral Yi, commandant de la flotte royale à la fin du XVIIème siècle.
Le Royaume de Joseon est sous la menace d’une invasion japonaise. La dynastie s’en remet à Yi, qui n’a plus à sa disposition qu’une douzaine de navires pour défendre le royaume contre une flotte japonaise, qui en compte plus de trois cents. La bataille de Myeong-Ryang se prépare.
« Ivre de femmes et de peinture »
Le lendemain à 17h00, à la Salle polyvalente, le film « Ivre de femmes et de peinture », raconte l’histoire d’ Ohwon Jang Seung-Up, artiste peintre coréen (1843-1897) , connu, non seulement pour son art qu’il maîtrise à la perfection mais également pour son mode de vie libertin, son excentricité et son amour immodéré de l’alcool.
Le jeudi 17 novembre à 19 h 30 à la Salle polyvalente il y aura projection de « The Host ». Ce film de science-fiction réalisé par Bong Joon-ho
en 2006 montre Séoul où sur les bords du fleuve Han, les cinq membres d’une famille coulent des jours heureux autour de leur petit snack.
Jusqu’au jour où, des profondeurs du fleuve, surgit une créature terrifiante et inconnue qui sème la mort et la désolation. Avant de replonger, elle s’empare de la petite dernière de la famille et l’entraîne avec elle.
Le vendredi 18 novembre à 17 h 00 au même endroit, le film « Transperce neige » va à coup sûr captiver le public. L’histoire débute en 2031, où suite à une catastrophe provoquée par l’être humain, des passagers enfermés dans un train forcé de rouler continuellement sont les seuls survivants sur Terre.
Les habitants des derniers wagons sont contraints de vivre dans la promiscuité et le rationnement. À l’opposé, les habitants des autres wagons vivent dans un environnement relativement luxueux. Le train est dirigé par Wilford (Ed Harris), qui est à l’origine du train et qui réside dans le premier wagon.
Parmi les passagers des derniers wagons se trouve Gilliam (John Hurt), un vieil homme très respecté. Il y a aussi le jeune Edgar (Jamie Bell), qui seconde Curtis (Chris Evans) dans un projet de révolte contre les habitants des wagons avant.
Cette révolte s’appuie sur des messages qui, envoyés par une personne inconnue présente à l’avant du train, sont régulièrement récupérés par Curtis. Leur première tâche est de libérer Namgoong Minsu (Song Kang-ho ), le concepteur des systèmes de sécurité du train, emprisonné avec sa fille Yona (Ko Ah-sung).
Il s’agit de l’adaptation de la bande-dessinée « Le Transperceneige », des Français Jean-Marc Rochette et Jacques Lob.
Des hors-la-loi, au service de la justice
Le même jour à 19h30, le film « Kundo » va montrer une révolte, dans un monde de désolation où les puissants oppriment les faibles et où les riches exploitent les pauvres. Les mauvaises récoltes amènent les nobles et les fonctionnaires corrompus à outrepasser les limites, obligeant le peuple à s’insurger.
Dès lors, ceux qui sont capturés sont exécutés. Les autres fuient dans les montagnes, où ils deviennent des hors-la-loi, prêts à se battre pour rétablir la justice.
Par YHR