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ACOFEPE plaide pour une journée internationale de la presse écrite

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ACOFEPE plaide pour une journée internationale de la presse écrite

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Par Tantia Sakata

Conduite par sa Présidente Grâce NgykeKangundu, une délégation de l’Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse-Ecrite (ACOFEPE) a échangé, le lundi 21 novembre 2022, avec le Représentant Pays de l’Organisation des Nations-Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), ISAIAS BARRETO da Rosa.

Cette rencontre portait sur la poursuite du projet de demande de la consécration d’une journée Internationale dédiée à la Presse Ecrite. Initiée par l’ACOFEPE, la proposition a été soumise au bureau de l’UNESCO-RDC, depuis juillet 2021, par l’entremise de son ancien Représentant-Pays, Jean-Pierre Ilbidou.

Selon l’ACOFEPE, la raison qui a conduit à cette demande est la non existence d’une journée internationale consacrée exclusivement à la presse écrite, alors que le monde célèbre respectivement le 21 novembre et le 13 février de chaque année les journées mondiales de la Télévision et de la Radio.

Selon une dépêche de l’ACOFEPE, le Représentant de l’UNESCO a réaffirmé son accompagnement dans la mise en œuvre de ce projet qui vise à valoriser les chevaliers de la plume.

A l’issue de cette audience, Grâce Ngyke Kangundu a appelé ses pairs à fédérer autour de cette proposition. ” Il est temps que les chevaliers de la plume s’unissent pour réclamer la reconnaissance internationale du travail de leur métier qu’est la presse-écrite “, a-t-elle déclaré.

Par la même occasion, l’ACOFEPE lance un appel d’adhésion à toutes les Associations professionnelles de la Presse-Ecrite et aux chevaliers de la plume, pour adhérer à la Synergie des Associations des journalistes de la presse-écrite en Afrique, afin de préparer un webinaire pour formuler un argumentaire commun.

Pour rappel, l’ACOFEPE a pour objectifs notamment de revaloriser le statut de la femme journaliste de la presse-écrite, de militer pour une intégration quantitative et qualitative des femmes dans la presse écrite, de plaider pour la reconnaissance des pouvoirs des femmes au sein des rédactions de la presse-écrite, et de promouvoir le genre dans le partage des postes dans les rédactions.