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Monitoring national des factuelles de corruption et actes assimilés de la RDC de 1997 à 2018 : «Un grand rapport» sur le respect et l’application des droits de l’homme en gestation

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Monitoring national des factuelles de corruption et actes assimilés de la RDC de 1997 à 2018 : «Un grand rapport» sur le respect et l’application des droits de l’homme en gestation

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Des organisations des droits de l’homme en RD Congo tiennent des réunions, de manière ponctuelle, pour élaborer «un grand rapport» sur les respects et applications des droits de l’homme dans le pays». Un document répertoriant les violations de l’intégrité humaines et crimes contre l’Etat qui va concerner la période de 1997 à 2018.

Il s’agit d’examiner, évaluer et recenser, depuis plusieurs années, la situation des droits humains et autres crimes, même de corruption.
Un travail qui est en train d’être fait par des organisations de la société civile  et des experts indépendants de lutte contre la corruption, par l’éthique– l’intégrité– la transparence– la gouvernance ouverts– la gouvernance économique et contre la criminalité organisée au sein des institutions.

Ce qui va permettre de regrouper les indicateurs de ces faits tant en IPC–IPCR et IC d’origine institutionnels, tant publics que privés dictées aux Etats par de multiples Conventions ainsi que Directives, ratifiées et adoptées par la RD Congo. Cela en Afrique, et dans le système des Nations-Unies, ainsi que le PAC et actes /ODCE, en coopération avec la RDC pour disposer de renseignements financiers, fiscaux  en irrégularité, les situations de prédation et d’illégalité.

Des populations congolaises sensibilisées

Pour les membres de ces organisations qui s’attellent à ce grand rapport en gestation, les populations congolaises doivent être sensibilisées exactement et vraisemblablement sur l’état des lieux des pillages de la Nation de  1997 à ces jours. Une situation impliquant des opérateurs politiques et acteurs économique du pays, qui devront  répondre, d’une manière ou  d’une autre, à la justice, même internationale, pour leurs actes de criminalité, surtout économiques chiffrés à  une centaine de milliards USD.
Ces organisations et experts indiquent que mêmes les hommes politiques les plus en vue n’ont pas connaissance de l’état réel de l’érosion, de la corruption installée, construite et entretenue, pour un pays ayant budget d’à peine 4 Milliards USD.

Ce grand rapport, sensé être publié dans les tous prochains jours, est constitué de tous les rapports des actes de corruption, autres documentations depuis CELC-OBMA,  commissions et rapports internationaux, ainsi que des faits quotidiens de corruption, qui seront mis en commun pour que des perspectives stratégiques soient examinées pour une politique de lutte,  de combat et guerre contre la corruption.

Prévention du crime

Tous les plus grands blocs de lutte contre la corruption sont en contact avec la RDC, via des experts affranchis, pour une solution finale contre ces méthodes de gouvernance. «Les paroles s’envolent, mais les écrits restent et demeurent», a soutenu un des membres de ce «Groupe d’experts de la société civile d’Intégrité, Transparence et Prévention du crime», qui s’attellent sur ce qu’ils qualifient, eux-mêmes, de « grand rapport ».

Par Lucien Kazadi T.

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