Type de recherche

Assemblée provinciale de Kinshasa : Réplique du ministre provincial de l’Urbanisme et habitat à la question orale avec débat

La Tempête des Tropiques Nation POLITIQUE Province

Assemblée provinciale de Kinshasa : Réplique du ministre provincial de l’Urbanisme et habitat à la question orale avec débat

Partager

La réplique du  ministre provincial de l’Urbanisme et habitat, M. François Lukanzu, sur le patrimoine immobilier dans la ville de Kinshasa, à la question orale avec débat posée par  le député Martin  Kasongo Lunseyiko sur le patrimoine immobilier dans la ville de Kinshasa, a consisté    à expliquer  qu’il a procédé  au rassemblement de toutes les archives où on parle du patrimoine immobilier de la ville de Kinshasa, y compris des informations récoltées auprès de tierces personnes. L’étape suivante, a-t-il  indiqué, consistera à confronter toutes les informations reçues sur le terrain pour rendre compte de la réalité.

Saluant  l’engagement pris par les élus de Kinshasa disposés à l’accompagner, le ministre a signalé les difficultés rencontrées chaque fois que le Gouvernement va vers les spoliateurs et a demandé aux députés provinciaux de procéder au contrôle parlementaire pour la bonne identification de ce patrimoine provincial. A cette même occasion, il a été également question d’examiner le projet d’édit portant organisation et fonctionnement des services publics de la ville de Kinshasa et ses communes.

Concernant la 1ère préoccupation, il faut rappeler que la question de Martin Kasongo portait sur trois différents aspects, notamment la liste exhaustive des biens spoliés dans la ville de Kinshasa (terrains, concessions, immeubles, etc.) ; à qui la gestion des recettes générées par ces biens dans la ville de Kinshasa et comment procéder pour donner à la ville la possibilité de disposer à nouveau de ces biens spoliés.

Pour conclure, l’auteur de ladite question a fait savoir que son insatisfaction était couverte par la réponse donnée par le ministre, en précisant que ce dernier-même avait du mal, à cause du terrain très vaste, à avoir une idée sur tous les biens spoliés. Il a également émis le vœu de voir l’implication de l’Assemblée provinciale pour apporter du tonus à ce problème.

Par Thony Kambila

Laissez un commentaire

Your email address will not be published. Required fields are marked *