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Depuis Washington où il séjourne : Freddy Matungulu soutient les recommandations du Conclave de Bruxelles

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Depuis Washington où il séjourne : Freddy Matungulu soutient les recommandations du Conclave de Bruxelles

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Le président national du CNB rend hommage à Etienne Tshisekedi et à toute l’Opposition pour avoir honoré le peuple congolais en définissant un cadre de concertation et de dialogue de sortie de crise conforme aux prescrits de la Constitution

A travers un communiqué de presse du 10 juin 2016, le président national du parti Congo Na Biso (CNB), Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir, de Washington DC où il séjourne, dit soutenir toutes les recommandations issues du Conclave de Bruxelles tenu par l’Opposition congolaise du 8 au 9 juin derniers.

” Je salue et rends hommage au président Tshisekedi et à tous les compatriotes de l’Opposition, en particulier mes collègues de la Dynamique, qui ont honoré le peuple congolais les 8 et 9 juin à Bruxelles en définissant un cadre de concertation et de dialogue de sortie de crise conforme aux prescrits de notre Constitution “, peut-on lire dans le premier paragraphe de ce communiqué. En particulier, Matungulu se réjouit de ce que ce ” Nouveau Dialogue ” du peuple ait comme fondement essentiel la reconnaissance de la fin du mandat du président Joseph Kabila le 19 décembre 2016. Ce qui exclut de son agenda toute possibilité du glissement redouté et rejeté par l’écrasante majorité de la population congolaise.

” Notre pays ne peut se permettre de demeurer le théâtre de perpétuels recommencements institutionnels qui en obscurcissent les perspectives politiques et empêchent la relance des investissements de longue durée, socle de la croissance inclusive qui permettra à la population congolaise de commencer, enfin, à bénéficier du fruit de ses immenses richesses naturelles “, souligne-t-il.

L’homme invite la population congolaise et les partenaires extérieurs du pays à apporter un soutien actif à ce nouveau cadre de concertation dont la finalité sera de doter la nation d’une feuille de route amenant à la cession pacifique du pouvoir par le président Joseph Kabila à un successeur élu dans les délais et suivant les dispositions pertinentes de la Constitution.

Dans cette perspective, rappelle-t-il, comme l’exige la Constitution, si l’élection présidentielle n’est pas tenue avant le 19 décembre 2016, elle devrait être organisée sous l’autorité du président du Sénat, président intérimaire, dans un délai permettant l’investiture du nouveau chef de l’Etat au plus tard le 20 avril 2017.

Par LM

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