Chaque année, la Journée internationale de l’alphabétisation est célébrée à travers le monde à la date du 8 septembre. Selon les Nations Unies, c’est une opportunité pour les différents acteurs concernés de souligner les réalisations dans le domaine de l’alphabétisation et de réfléchir aux moyens de relever les défis restants. ” Alphabétisation et développement des compétences “, tel est le thème choisit en cette année 2018.

Puisque la jeune fille accuse toujours un retard sur le plan de l’instruction, particulièrement en République Démocratique du Congo, il revient au gouvernement de pouvoir adopter une politique susceptible de favoriser la connaissance de cet être. Raison pour laquelle, certaines organisations internationales avaient initié des campagnes scolaires en vue de favoriser l’éducation des jeunes filles et garçons. Question d’assurer un accès équitable entre les deux sexes.

C’est seulement grâce aux études que ces jeunes filles, femmes de demain, pourront acquérir des compétences. Des compétences qui permettront à ces femmes d’être compétitives dans le marché de l’emploi et capables de contribuer au développement de leur société.
En se référant aux objectifs de Développement Durable (ODD), soit objectif 4 qui assure l’accès de tous à une éducation de qualité…note que le monde est parvenue à réaliser à réaliser l’égalité entre filles et garçons dans l’enseignement primaire, mais peu de pays ont atteint cette cible à tous les niveaux de l’éducation.

C’est ainsi que les défenseurs de l’éducation pour tous en RDC militent également pour la gratuité de l’enseignement primaire dans le but de favoriser la scolarisation des filles et garçons. Même dans son dernier alinéa, l’article 43 de la Constitution stipule que : ” l’enseignement primaire est obligatoire et gratuit dans les établissements publics “.

Par Tantia Sakata